La CFDT est l’organisation syndicale la plus représentée parmi les cadres de la fonction publique : première en nombre d’adhérents et première en audience aux élections en commissions administratives paritaires tous versants : État, territoriale et hospitalière confondus.

Les cadres reconnaissent ainsi son action sans faille pour la gestion individuelle de leur carrière.

Mais ces résultats, la CFDT les doit aussi à la clarté des objectifs qu’elle porte en matière d’emploi public, d’organisation du travail et de santé au travail.

Le 20 octobre prochain, les agents de la fonction publique hospitalière et bon nombre de ceux de la fonction publique de l’État vont être amenés à voter pour désigner leurs représentants dans les comités techniques (CT) et dans les commissions administratives paritaires (CAP).

En signant les accords de Bercy en juin 2008, traduits dans la loi du 5 juillet 2010, la CFDT s’est engagée pour le respect des votes de tous les agents dans leur collectif de travail et pour le développement d’une culture de la négociation et de l’accord dans la fonction publique.

Qu’ils soient de proximité ou de périmètre élargi (régional, national), les scrutins en comités techniques fonderont la représentativité des organisations syndicales et par là-même la participation de leur mandaté(e)s aux comités d’hygiène, sécurité et condition de travail.

Et sur cette représentativité sera également fondé le droit à négocier.

Car il est bien question de faire vivre le dialogue social dans ces élections d’octobre 2001.

Il nous faut porter aujourd’hui les revendications qui se sont exprimées au travers de l’analyse des résultats de l’enquête « cadres dans la Fonction publique », ou celles qui sont remontées par le biais de