L'entreprise néolibérale marie à la fois la coercition et la coopération, la coercition via la pression des marchés financiers, du chômage et de la précarité mais aussi la coopération même si aujourd'hui beaucoup en reviennent.... Un mélange subtil d'autonomie contrôlée, de plus en plus contrôlée car le désir d'autonomie est de plus en plus fort chez les salariés.

Le néolibéralisme « délivre un message antinomique aux salariés en leur demandant d'être des sujets dans leur travail et des objets dans leur emploi... ».